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Author: Mathilde Lanfranchi
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Alternatives à la radiothérapie et la chimiothérapie

Vous êtes de plus en plus nombreux à rechercher des alternatives à la radiothérapie et la chimiothérapie. C’est une question bien légitime: au regard du nombre croissant de cancers à travers le monde, de plus en plus de personnes se posent la question du choix de leur traitement. Malheureusement, dès qu’on évoque la chimiothérapie et à la radiothérapie, la première chose qui vient à l’esprit est le cortège des effets secondaires : nausée, perte de cheveux, problèmes digestifs. Et on visualise des brûlures quand on pense à la radiothérapie. Tout ceci provient du fait que ces traitements ne sont pas sélectifs. Ils tuent toutes les cellules qui se divisent rapidement. Donc, bien sûr, ils tuent les cellules cancéreuses, mais aussi les « bonnes cellules » qui se divisent rapidement, comme celles de la paroi intestinale, essentielles à notre immunité. De même, les follicules des cheveux sont souvent détruits.

Face à ces effets secondaires graves, les patients demandent s’il existe d’autres solutions. Et il existe d’autres solutions. Même la médecine conventionnelle propose maintenant des alternatives à la chimiothérapie, la radiothérapie. Par exemple, l’immunothérapie : cette nouvelle technique fonctionne en modifiant notre propre système immunitaire pour le pousser à développer des défenses contre les cellules cancéreuses. Parfois, ça marche. Parfois, malheureusement, ça ne marche pas.

Le fait de jouer à l’apprenti sorcier avec notre système immunitaire peut avoir des conséquences catastrophiques. Alors les patients continuent à chercher, et c’est là qu’ils viennent à s’interroger sur l’existence de solutions naturelles moins agressives que la chimie ou les radiations.

Pour la petite histoire, la chimiothérapie et la radiothérapie ont leur origine dans le développement des armes de guerre. Le gaz moutarde fit tant de ravages pendant la Première Guerre mondiale qu’il fut interdit en 1925. Pour détourner l’interdiction, le ministère de Guerre américain, en partenariat avec l’Université de Yale, a eu l’idée d’ajouter un atome d’azote à la formule du gaz moutarde. Légèrement différent, ce nouveau gaz azoté pouvait ainsi échapper à l’interdiction officielle. Il a été utilisé pendant la Deuxième Guerre mondiale, avec une puissance de destruction telle que les médecins militaires ont pensé utiliser ce pouvoir pour éradiquer le cancer. Même chose pour les recherches sur la radiation, qui ont malheureusement culminé avec la bombe atomique. Historiquement, ce sont ces investissements militaires qui après la guerre ont été « récupérés » pour des projets curatifs. Ils n’en restent pas moins, philosophiquement, des engins de destruction. Et je crois que le monde a soif de quelque chose de philosophiquement positif, qui provienne de la nature, du jaillissement de la vie.

Mon père, Mirko Beljanski, avait développé dans les années 80, des extraits de plantes capables de détruire effectivement les cellules cancéreuses, tout en étant capables de faire la différence entre cellules cancéreuses et cellules saines. Ils sont sélectifs dans leur action. Beljanski avait constaté que ces extraits de plantes, le Pao Pereira et le Rauwolfia Vomitoria, sont capables de tuer un grand nombre de lignées de cellules cancéreuses (sa dernière publication portait sur 16 différentes lignées cancéreuses) mais aussi sont capables d’entourer les cellules saines sans les pénétrer. Ils pénètrent sélectivement les cellules cancéreuses pour en bloquer la duplication. C’est très, très visible sur la lumière UV. Mirko Beljanski avait fait une expérience où l’on voit comment la fluorescence naturelle des extraits se concentre sélectivement sur les cellules cancéreuses et ne pénètre pas les cellules saines.

                                                                          Sélectivité d’action

Cellule saine (astrocyte)

Cellule Cancéreuse (glioblastome)

Or, un produit sélectif, ça veut dire un produit qui ne va pas être toxique et n’aura pas d’effets secondaires. Il va aller détruire que les cellules cancéreuses sans altérer les cellules saines. Si il ne rencontre aucune cellule cancéreuse, il sera éliminé par les voies naturelles en quelques heures. Donc pas de toxicité pour l’organisme, pas d’effets secondaires.

Et non seulement ces produits sont sélectifs, mais depuis  le décès de mon père, la Fondation Beljanski a pu développer différents programmes de recherche avec plusieurs universités américaines sur le cancer de la prostate, le cancer des ovaires et le cancer du pancréas.

Le Pao pereira et le Rawolfia Vomitoria

Ces études ont permis de confirmer que les extraits de Pao Pereira et de Rauwolfia Vomitoria étaient très efficaces à détruire ces différentes lignées cancéreuses. Les mécanismes d’action ont été étudiés. Les extraits fonctionnent seuls, mais aussi en synergie avec les chimiothérapies traditionnelles. Donc, c’est une très jolie alternative. Toutes ces recherches ont été publiées, les études sont disponibles sur le site de la Fondation Beljanski.info

Vous pouvez les imprimer et les apporter à votre médecin pour entamer une discussion sur votre choix de traitement.

Des solutions existent, des alternatives existent. J’encourage tout le monde à aller sur le site de Beljanski.info pour en apprendre plus sur ces approches et sur ces alternatives. Vous êtes en charge de votre traitement, c’est votre vie!

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Vaccins, PTI et Fragments d'ARN

Vaccins, PTI et Fragments d’ARN.

 

Vaccins, PTI et Fragments d'ARN

Un article récent publié dans MEDPAGE TODAY et intitulé : “Officials Investigate Physician’s Death After COVID Vaccination” (1) relate un cas de purpura thrombopénique immunologique (PTI), ayant entraîné la mort, suite à l’administration d’un vaccin COVID-19. Le PTI est une maladie auto-immune qui entraîne une épuisement des plaquettes et un risque d’hémorragie.  Aucun lien de cause à effet n’a été démontré dans ce cas, bien que plusieurs cas similaires aient été signalés (2).

La question qui se pose ici n’est pas la relation entre le PTI et le vaccin, mais la manière dont le PTI est traité et pourquoi des patients en meurent encore.

Une découverte remontant aux années 80

Dans les années 80, le Dr Mirko Beljanski, un biologiste français travaillant à l’Institut Pasteur de Paris, savait que pour qu’une cellule se divise, elle a besoin d’initiateurs spécifiques de la prolifération cellulaire. Il a mis au point une préparation de petits fragments d’ARN qui fonctionnent comme des amorces pour la synthèse de l’ADN dans les cellules souches de la moelle osseuse. Lorsque ces cellules souches se divisent et se différencient, elles donnent naissance à des globules blancs et à des plaquettes. Les fragments d’ARN de Beljanski déclenchent la production par l’organisme de globules blancs et de plaquettes, si nécessaires à notre défense immunitaire et à la coagulation sanguine (3), naturellement et dans des proportions physiologiques.

“Alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur, Beljanski a testé ses fragments sur des lapins ayant reçu des injections intraveineuses quotidiennes d’Endoxan, chaque dose étant quarante fois plus importante, proportionnellement en termes de poids, que la dose normalement prise par un humain au cours d’une semaine.  Cela a conduit à une chute des globules blancs qui devrait entraîner la mort de l’animal dans les dix jours. Ensuite, des fragments d’ARN ont été administrés. Le nombre de leucocytes a augmenté, et dans les vingt-quatre à quarante-huit heures, il était redevenu normal. Une fois l’expérience terminée, les lapins ont continué à être en bonne santé, bien qu’ils aient reçu des doses d’antimitotiques bien supérieures aux doses administrées dans le cadre d’une thérapie humaine. Des suivis d’études menés un à deux ans après l’expérience n’ont montré aucun effet secondaire chez les lapins”, raconte sa fille (4) Sylvie Beljanski dans son livre “Gagner la lutte contre le cancer. La découverte dont la République n’a pas voulu.”

 

Un essai clinique chez des patients atteints d’un cancer avancé

Depuis 1999, la Fondation Beljanski – une organisation à but non lucratif basée à New York – s’efforce de financer la recherche qui pour conduire à une approche naturelle du cancer. Avec le soutien de la Fondation Beljanski, ces fragments d’ARN ont pu être testés dans le cadre d’un essai clinique de phase I au Cancer Treatment Centers of America (CTCA) chez des patients atteints de cancers avancés et soumis à chimiothérapie.  Ces patients souffrent régulièrement de thrombocytopénie en raison des médicaments myélosuppresseurs.  Les plaquettes sont essentielles pour la coagulation du sang et des carences graves peuvent entraîner des hémorragies fatales.   Lors de l’essai clinique, les patients recevant les fragments d’ARN ont été protégés de la thrombocytopénie induite par la chimiothérapie et n’ont pas eu besoin de réduction de chimiothérapie ou de suspension du traitement ou de transfusion de plaquettes.  En effet, cet essai de phase I a démontré l’efficacité et l’innocuité des fragments d’ARN, car aucun effet indésirable n’a été observé.   Ces résultats ont été publiés il y a plus de dix ans. (5)

Qu’attend la communauté médicale ?

Il est donc légitime de se demander pourquoi ce médecin n’a pas eu la chance d’améliorer son taux de plaquettes grâce à ces fragments d’ARN, que sa thrombocytopénie soit ou non une complication du vaccin qu’il a reçu.  Et au-delà d’un seul cas, pourquoi les fragments d’ARN de Beljanski ne sont pas plus largement proposés à toute personne souffrant de PTI.

 

1)   Officials Investigate Physician’s Death After COVID Vaccination  MedPage Today January 27,2021

https://www.medpagetoday.com/special-reports/exclusives/90917

2) A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, Denise Grady, New York Times, Published Feb. 8, 2021. Updated Feb. 10, 2021.

3) M. BELJANSKI, ” Overview: BLRs as Inducers of In Vivo Leucocyte and Platelet Genesis “. Deutsche Zeitschrift für Onkologie, 24, 2, 1992, pp. 41-46.

4) “Gagner la lutte contre le cancer. La découverte dont la République n’a pas voulu.” Sylvie Beljanski, Ed. Du Souffle d’Or , 2019

5) Dose escalation study of an anti-thrombocytopenic agent in patients with chemotherapy induced thrombocytopenia. BMC Cancer 2010 Oct 19;10:565.doi: 10.1186/1471-2407-10-565.

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Blog: Fêter la Journée de la Femme? Oui…mais…

La Journée internationale de la femme: tout le monde célèbre l’avancée des progrès sociaux realisés au cours des dernières décennies, et tandis que les quelques bastions de résistance sociale sont malmenés par une société qui se remodèle rapidement.

Tout ce que ma grand-mère espérait pour moi était de reproduire son propre modèle de vie : se marier correctement et élever ses enfants dans un environnement sûr et pacifique. Au lieu de cela, j’ai choisi d’aller à la faculté de droit, avant de fonder ma propre entreprise, et j’ai laissé tomber (ou raté ?) le développement d’une vie de famille.  Je suis fière de mes réalisations et heureuse d’avoir pu créer ma propre destinée (ce dont ma grand-mère n’aurait même pas pu rêver).  Mais suis-je certaine que notre société va dans la bonne direction ? En fait, je n’en suis pas si sûre.

Nous, les femmes, les filles, les épouses, les mères, les enseignantes, les employées, les patronnes, les consommatrices, les soignantes, les soutiens de famille, les dirigeantes… avons pris l’habitude de faire face à tous les défis. Cette année de Covid a vu d’innombrables femmes médecins, infirmières et prestataires de soins de santé aller en première ligne pour lutter de manière désintéressée contre la pandémie, tandis que toutes les mères ont ajouté “enseignante à domicile” et “cuisinière” à leur description de poste. Nous, les femmes, sommes devenues assez douées pour faire l’impossible.  Et ce faisant, nous avons également brisé d’innombrables records ; cependant, nous nous mentirions à nous-mêmes si nous nions le prix que nous payons pour cela.

Super Woman, épuisée, mais essayant toujours de courir avec ses talons hauts, fait de son mieux pour faire face aux nombreuses pressions qui accompagnent chacun de ses multiples rôles dans la société. Elle a besoin d’un verre, ou de quelque autre manifestation de consumérisme aveugle, pour faire taire la petite voix intérieure : notre mode de vie doit être revu. Notre maison, la planète Terre, est polluée et nous fera tous vivre moins longtemps. Les bébés sont exposés à une moyenne de 200 produits chimiques et polluants industriels (1), ce que l’on peut mettre en corrélation avec l’augmentation des cancers et de l’autisme chez les enfants. Nos parents ne vont pas mieux : aujourd’hui, aux États-Unis, une personne développe un Alzheimer toutes les 66 secondes. Selon l’Association Alzheimer, d’ici 2050, elle le sera toutes les 33 secondes (2). Et si nous tombons nous-mêmes malades ?  Avec une personne sur trois (3) qui reçoit un diagnostic de cancer à un moment donné de sa vie, qui s’occupera de nous?

Il ne sert à rien de mélanger imagination et peur. C’est un cocktail mortel.  L’anxiété fait que notre cerveau et notre corps libèrent un flot d’hormones de stress pour nous aider à faire face à une menace ponctuelle, mais nous ne sommes pas censés rester dans cet état extrême pendant de longues périodes.  L’anxiété chronique et incontrôlée finit par faire monter nos hormones de stress, mettant notre corps à rude épreuve et entraînant de graves conséquences physiques, allant des douleurs musculaires aux éruptions cutanées, en passant par les problèmes digestifs et, finalement, le cancer.

Un vieux proverbe arabe dit : “Celui qui a la santé a tout”. Nous ne pouvons pas permettre que la toxicité environnementale, par la cupidité des entreprises et la faiblesse des politiques publiques, nous prive de tout. Nous, les femmes, devons faire de la santé une priorité pour nous-mêmes, nos familles et nos pays.

Quel est l’intérêt de combattre les derniers bastions de l’inégalité sociale, si nous devons régner sur une planète morte ? Nous devons prendre conscience que la révolution industrielle ne nous a pas bien servies et qu’un changement de vie sérieux est non seulement impératif, mais essentiel à notre bien-être.

Nous devons devenir les consommatrices attentives qui mettront fin à la cacophonie des substances cancérigènes qui affaiblissent notre système immunitaire et celui de nos enfants. Choisissons la santé. Demandez-vous : pourquoi tant de cancers, pourquoi tant

d’inflammations ? Lisez ensuite attentivement les étiquettes et cessez d’acheter des produits nocifs. Si vous cessez de les acheter, ils disparaîtront. C’est en fait aussi simple que cela. Adoptez plutôt l’idée de soutenir les entreprises qui agissent de manière responsable, mais s’il vous plaît, lorsque vous passez commande, ne tenez pas compte uniquement de l’empreinte carbone du fabricant. Considérez ce que vous faites en achetant et en renvoyant des produits en ligne. Chaque livraison, même si elle est vendue “gratuitement”, se traduit par un trafic supplémentaire dans les rues, une pollution supplémentaire, une consommation de gaz et de carbone.

Nous devons apprendre ce que l’on peut faire pour désintoxiquer notre maison et notre corps. Apprenez quels suppléments favoriseront une élimination en douceur des “métaux lourds” tels que le plomb, le mercure, l’aluminium et l’arsenic. Tous ces métaux induisent une toxicité aiguë ou chronique et sont largement répandus dans l’environnement (4). Découvrez la médecine traditionnelle et l’utilisation ancienne des plantes médicinales. Certaines, comme le Pao pereira, permettent de prévenir les attaques de virus (5) et de lutter contre le cancer (https://www.beljanski.info/pao-pereira/). Découvrez les avantages des vitamines naturelles par rapport aux vitamines synthétiques, souvent peu biodisponibles. Découvrez l’importance de maintenir un microbiome sain pour votre intestin et votre bouche. Lorsque les temps deviennent trop difficiles, donnez à votre système immunitaire un bon coup de pouce, avec de bons fragments d’ARN (6).

Il est sérieusement temps de secouer les choses, de rendre cette planète plus propre, d’adopter une façon plus naturelle de prendre soin de nous-mêmes.  Se sentir mieux naturellement ! Allez les filles ! Qui a dit qu’on ne pouvait pas tout avoir ?

Sylvie Beljanski est la fondatrice et vice-présidente de la Fondation Beljanski, qui mène des recherches sur les composés naturels afin d’aider à lutter contre le cancer. Elle est également l’auteur de Gagner la lutte contre le Cancer: la découverte dont la République n’a pas voulu.

 

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Décès de Bernard Tapie: l’Histoire se répète

J’aimais bien Bernard Tapie, et je suis sidérée de voir nos officiels lui rendre hommage, maintenant qu’il est décédé, après l’acharnement et la mauvaise fois qu’ils ont mis à le détruire.  Non pas que Bernard Tapie ne mérite pas que l’on rende hommage à son courage et à son engagement, mais la décence conduirait à  attendre du gouvernement français un « mea culpa » plutôt qu’un hommage. 

Je ne peux pas m’empêcher de faire le rapprochement avec l’acharnement judiciaire dont mon père, Mirko Beljanski, a été lui-même victime quand les politiques ont décidé de « faire le ménage » après le décès de François Mitterrand. Même époque, même méthode  (une culpabilité pénale créée à partir de rien, mais nécessaire pour se débarrasser d’un « gêneur ».  Et  on ajoute des poursuites fiscales à n’en plus finir pour « enterrer »  la personne sous les procédures) et même résultat : le stress est tel qu’il génère un cancer.

Et bien sûr, on peut toujours compter sur la presse pour faire le sale boulot de répéter à l’envie toutes les fausses accusations, au moins jusqu’à ce que tout le monde y croit. “Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose”  disait Talleyrand.  C’est la mise à mort sociale, en attendant le décès physique.

Mirko Beljanski

Bernard Tapie et Mirko  Beljanski ont tous deux fini par être innocentés : Tapie à travers un arbitrage où lui furent attribués plusieurs plusieurs millions de dommage et intérêt – Beljanski à travers une décision de la Cour Européenne de Droits de L’Homme , prononçant à l’unanimité  la condamnation de la France.  18 ans de la vie de Tapie auront été gâchés à se débattre contre les accusations de fraude fiscale, 15 ans de la vie de Monique Beljanski –à qui s’étendirent les poursuites suite au décès de son mari- avant  qu’il n’y soit mis fin par un arrêt de la  Cour d’Appel de Paris, déboutant l’administration.

Et tout ça pourquoi ?  Obtenir l’inéligibilité d’un candidat populaire  ?   Discréditer une approche naturelle et efficace de traiter le cancer et les virus  (ça n’était pas bien venu sur fond de scandale du sang contaminé) ?

 Les « coups de com » sous forme d’hommage, d’enterrement au panthéon, de rue rebaptisée… ne doivent pas faire oublier que  la machine gouvernementale massacre impitoyablement ses citoyens quand ils dérangent, quand ils sont en avance sur leur temps, quand leur succès met en lumière la médiocrité de ces puissants qui vivent dans l’ombre, mais tirent les ficelles du pouvoir.

Le terme juridique est « Abus de Pouvoir » .  Et l’amertume reste intacte dans le cœur de ceux qui ont vu de près comment la Patrie broie ses enfants. 

Recherches Fondation Beljanski

Même si aujourd’hui de multiples universités internationales sont venues confirmer les découvertes de Mirko Beljanski, même si les publications continuent à s’accumuler pour rapporter l’efficacité de ses extraits sur de nombreux cancers, même si la Fondation Beljanski et The Beljanski Foundation multiplient les partenariats prestigieux, il n’en reste pas moins ce qui frappe le plus les esprits lorsqu’ils découvrent cette affaire, c’est l’injustice qu’a subi Mirko Beljanski, et l’acharnement invraisemblable de l’Etat français à son égard.

Je parie que, dans quelques années,  l’histoire de Bernard Tapie ne se résumera pas à un hommage aseptisé.

Sylvie Beljanski

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Vaccine Detox

Grand nettoyage de printemps

Dans le cadre de notre série d’événements des Jeudis De La Santé, nous aborderons, avec mon invité le Dr. Dominique Rueff, le thème des Boosters et de la Détoxification Vaccinale le 24 mars à 19 heures. Nous  parlerons de la désintoxication et, plus particulièrement, de la désintoxication des vaccins. Ne manquez pas cet événement exceptionnel d’une actualité malheureusement brulante..
 

La « Détox » est à la mode, et l’expression sonne comme un cliché marketing repris à chaque printemps par des médias à court d’idées. Et très souvent, il ne s’agit en effet que de cela. Mais  cette année, le sujet est malheureusement d’une actualité brulante .

Redéfinir l’inéluctable
La désintoxication (“detox”), c’est-à-dire l’action d’éliminer ces toxines, s’avère être le seul moyen efficace de lutter contre tout ce qui  au quotidien, nous vieillit, nous empoisonne, provoque douleurs et maladies. La désintoxication, c’est bien plus qu’un régime alimentaire. Pour être réussie, la désintoxication doit aussi englober la désintoxication émotionnelle, et cette année plus que jamais, la désintoxication vaccinale.
 
Que savons-nous des véritables effets secondaires des vaccins ? Comment l’alimentation et la prise de compléments alimentaires peuvent nous aider à y remédier naturellement?  Comment la desintoxication peut elle aussi nous aider à améliorer notre sommeil, devenir plus en forme et finalement plus heureux ?
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Vous êtes de plus en plus nombreux à rechercher des alternatives à la radiothérapie et la chimiothérapie. C’est une question bien légitime: au regard du nombre croissant de cancers à travers le monde, de plus en plus de personnes se posent la question du choix de leur traitement. Malheureusement, dès qu’on évoque la chimiothérapie et à la radiothérapie, la première chose qui vient à l’esprit est le cortège des effets secondaires : nausée, perte de cheveux, problèmes digestifs. Et on visualise des brûlures quand on pense à la radiothérapie. Tout ceci provient du fait que ces traitements ne sont pas sélectifs. Ils tuent toutes les cellules qui se divisent rapidement. Donc, bien sûr, ils tuent les cellules cancéreuses, mais aussi les « bonnes cellules » qui se divisent rapidement, comme celles de la paroi intestinale, essentielles à notre immunité. De même, les follicules des cheveux sont souvent détruits.

Face à ces effets secondaires graves, les patients demandent s’il existe d’autres solutions. Et il existe d’autres solutions. Même la médecine conventionnelle propose maintenant des alternatives à la chimiothérapie, la radiothérapie. Par exemple, l’immunothérapie : cette nouvelle technique fonctionne en modifiant notre propre système immunitaire pour le pousser à développer des défenses contre les cellules cancéreuses. Parfois, ça marche. Parfois, malheureusement, ça ne marche pas.

Le fait de jouer à l’apprenti sorcier avec notre système immunitaire peut avoir des conséquences catastrophiques. Alors les patients continuent à chercher, et c’est là qu’ils viennent à s’interroger sur l’existence de solutions naturelles moins agressives que la chimie ou les radiations.

Pour la petite histoire, la chimiothérapie et la radiothérapie ont leur origine dans le développement des armes de guerre. Le gaz moutarde fit tant de ravages pendant la Première Guerre mondiale qu’il fut interdit en 1925. Pour détourner l’interdiction, le ministère de Guerre américain, en partenariat avec l’Université de Yale, a eu l’idée d’ajouter un atome d’azote à la formule du gaz moutarde. Légèrement différent, ce nouveau gaz azoté pouvait ainsi échapper à l’interdiction officielle. Il a été utilisé pendant la Deuxième Guerre mondiale, avec une puissance de destruction telle que les médecins militaires ont pensé utiliser ce pouvoir pour éradiquer le cancer. Même chose pour les recherches sur la radiation, qui ont malheureusement culminé avec la bombe atomique. Historiquement, ce sont ces investissements militaires qui après la guerre ont été « récupérés » pour des projets curatifs. Ils n’en restent pas moins, philosophiquement, des engins de destruction. Et je crois que le monde a soif de quelque chose de philosophiquement positif, qui provienne de la nature, du jaillissement de la vie.

Mon père, Mirko Beljanski, avait développé dans les années 80, des extraits de plantes capables de détruire effectivement les cellules cancéreuses, tout en étant capables de faire la différence entre cellules cancéreuses et cellules saines. Ils sont sélectifs dans leur action. Beljanski avait constaté que ces extraits de plantes, le Pao Pereira et le Rauwolfia Vomitoria, sont capables de tuer un grand nombre de lignées de cellules cancéreuses (sa dernière publication portait sur 16 différentes lignées cancéreuses) mais aussi sont capables d’entourer les cellules saines sans les pénétrer. Ils pénètrent sélectivement les cellules cancéreuses pour en bloquer la duplication. C’est très, très visible sur la lumière UV. Mirko Beljanski avait fait une expérience où l’on voit comment la fluorescence naturelle des extraits se concentre sélectivement sur les cellules cancéreuses et ne pénètre pas les cellules saines.

                                                                          Sélectivité d’action

Cellule saine (astrocyte)

Cellule Cancéreuse (glioblastome)

Or, un produit sélectif, ça veut dire un produit qui ne va pas être toxique et n’aura pas d’effets secondaires. Il va aller détruire que les cellules cancéreuses sans altérer les cellules saines. Si il ne rencontre aucune cellule cancéreuse, il sera éliminé par les voies naturelles en quelques heures. Donc pas de toxicité pour l’organisme, pas d’effets secondaires.

Et non seulement ces produits sont sélectifs, mais depuis  le décès de mon père, la Fondation Beljanski a pu développer différents programmes de recherche avec plusieurs universités américaines sur le cancer de la prostate, le cancer des ovaires et le cancer du pancréas.

Le Pao pereira et le Rawolfia Vomitoria

Ces études ont permis de confirmer que les extraits de Pao Pereira et de Rauwolfia Vomitoria étaient très efficaces à détruire ces différentes lignées cancéreuses. Les mécanismes d’action ont été étudiés. Les extraits fonctionnent seuls, mais aussi en synergie avec les chimiothérapies traditionnelles. Donc, c’est une très jolie alternative. Toutes ces recherches ont été publiées, les études sont disponibles sur le site de la Fondation Beljanski.info

Vous pouvez les imprimer et les apporter à votre médecin pour entamer une discussion sur votre choix de traitement.

Des solutions existent, des alternatives existent. J’encourage tout le monde à aller sur le site de Beljanski.info pour en apprendre plus sur ces approches et sur ces alternatives. Vous êtes en charge de votre traitement, c’est votre vie!