Après une politique globale de l’agriculture, nous assistons maintenant à une politique globale de la santé qui est un vrai désastre pour l’écologie et l’environnement. Ainsi, le vaccin BioNTech/Pfizer (le plus répandu au monde) demande à être refroidi (congelé) par du gaz hydrofluorocarbures (HFC) avec des émissions allant jusqu’à 23 000 fois supérieures à celui du CO2, ayant un effet direct sur le réchauffement climatique.
Il est important de noter le coût environnemental du transport, du stockage, des flacons en plastique et des seringues (qui ne sont pas recyclés, mais pour la plupart du temps gaspillés et jetés), tout l’équipement du personnel de santé dont les masques chirurgicaux impactent notre environnement. Quels seront les effets long-termes de cette pollution additionnelle ?
Les choix politiques au niveau global n’ont manifestement rien d’écologique. Ils sont en fait le reflet des choix économiques des compagnies pharmaceutiques et biotechnologiques investissant massivement pour créer des “analogues”, ces molécules imitant presque, mais pas tout à fait celles de la nature et qu’elles peuvent facilement breveter, pour se constituer ainsi des monopoles lucratifs. La nature, non brevetable, est méprisée car non rentable.