Vaccins, PTI et Fragments d’ARN.
Un article récent publié dans MEDPAGE TODAY et intitulé : “Officials Investigate Physician’s Death After COVID Vaccination” (1) relate un cas de purpura thrombopénique immunologique (PTI), ayant entraîné la mort, suite à l’administration d’un vaccin COVID-19. Le PTI est une maladie auto-immune qui entraîne une épuisement des plaquettes et un risque d’hémorragie. Aucun lien de cause à effet n’a été démontré dans ce cas, bien que plusieurs cas similaires aient été signalés (2).
La question qui se pose ici n’est pas la relation entre le PTI et le vaccin, mais la manière dont le PTI est traité et pourquoi des patients en meurent encore.
Une découverte remontant aux années 80
Dans les années 80, le Dr Mirko Beljanski, un biologiste français travaillant à l’Institut Pasteur de Paris, savait que pour qu’une cellule se divise, elle a besoin d’initiateurs spécifiques de la prolifération cellulaire. Il a mis au point une préparation de petits fragments d’ARN qui fonctionnent comme des amorces pour la synthèse de l’ADN dans les cellules souches de la moelle osseuse. Lorsque ces cellules souches se divisent et se différencient, elles donnent naissance à des globules blancs et à des plaquettes. Les fragments d’ARN de Beljanski déclenchent la production par l’organisme de globules blancs et de plaquettes, si nécessaires à notre défense immunitaire et à la coagulation sanguine (3), naturellement et dans des proportions physiologiques.
“Alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur, Beljanski a testé ses fragments sur des lapins ayant reçu des injections intraveineuses quotidiennes d’Endoxan, chaque dose étant quarante fois plus importante, proportionnellement en termes de poids, que la dose normalement prise par un humain au cours d’une semaine. Cela a conduit à une chute des globules blancs qui devrait entraîner la mort de l’animal dans les dix jours. Ensuite, des fragments d’ARN ont été administrés. Le nombre de leucocytes a augmenté, et dans les vingt-quatre à quarante-huit heures, il était redevenu normal. Une fois l’expérience terminée, les lapins ont continué à être en bonne santé, bien qu’ils aient reçu des doses d’antimitotiques bien supérieures aux doses administrées dans le cadre d’une thérapie humaine. Des suivis d’études menés un à deux ans après l’expérience n’ont montré aucun effet secondaire chez les lapins”, raconte sa fille (4) Sylvie Beljanski dans son livre “Gagner la lutte contre le cancer. La découverte dont la République n’a pas voulu.”
Un essai clinique chez des patients atteints d’un cancer avancé
Depuis 1999, la Fondation Beljanski – une organisation à but non lucratif basée à New York – s’efforce de financer la recherche qui pour conduire à une approche naturelle du cancer. Avec le soutien de la Fondation Beljanski, ces fragments d’ARN ont pu être testés dans le cadre d’un essai clinique de phase I au Cancer Treatment Centers of America (CTCA) chez des patients atteints de cancers avancés et soumis à chimiothérapie. Ces patients souffrent régulièrement de thrombocytopénie en raison des médicaments myélosuppresseurs. Les plaquettes sont essentielles pour la coagulation du sang et des carences graves peuvent entraîner des hémorragies fatales. Lors de l’essai clinique, les patients recevant les fragments d’ARN ont été protégés de la thrombocytopénie induite par la chimiothérapie et n’ont pas eu besoin de réduction de chimiothérapie ou de suspension du traitement ou de transfusion de plaquettes. En effet, cet essai de phase I a démontré l’efficacité et l’innocuité des fragments d’ARN, car aucun effet indésirable n’a été observé. Ces résultats ont été publiés il y a plus de dix ans. (5)
Qu’attend la communauté médicale ?
Il est donc légitime de se demander pourquoi ce médecin n’a pas eu la chance d’améliorer son taux de plaquettes grâce à ces fragments d’ARN, que sa thrombocytopénie soit ou non une complication du vaccin qu’il a reçu. Et au-delà d’un seul cas, pourquoi les fragments d’ARN de Beljanski ne sont pas plus largement proposés à toute personne souffrant de PTI.
1) Officials Investigate Physician’s Death After COVID Vaccination MedPage Today January 27,2021
https://www.medpagetoday.com/special-reports/exclusives/90917
2) A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, Denise Grady, New York Times, Published Feb. 8, 2021. Updated Feb. 10, 2021.
3) M. BELJANSKI, ” Overview: BLRs as Inducers of In Vivo Leucocyte and Platelet Genesis “. Deutsche Zeitschrift für Onkologie, 24, 2, 1992, pp. 41-46.
4) “Gagner la lutte contre le cancer. La découverte dont la République n’a pas voulu.” Sylvie Beljanski, Ed. Du Souffle d’Or , 2019
5) Dose escalation study of an anti-thrombocytopenic agent in patients with chemotherapy induced thrombocytopenia. BMC Cancer 2010 Oct 19;10:565.doi: 10.1186/1471-2407-10-565.
ces fragments d’ARN sont-ils semblables à ceux utilisés dans vaccins Moderna ou Pfiser?
Non. Il semblerait que les vaccins utilisent uniquement (?) l’ARN-messager. Mais cet ARN existe en très petite quantité, et il est difficile de la séparer du reste. Alors nous ne savons pas bien ce qu’ils utilisent en réalité.
L’ARN est une très grand famille qui comprend essentiellement l’ARN ribosomique et l’ARN message (un peu d’ARN dit de transfert aussi et l’ARN 4 S).
Pour faire les RealBuild. on utilise essentiellement l’ARN ribosoique (80% de tout l’ARN)
Bien à vous.
Bonjour, mon frère est atteint d’une leucémie. Ils ont arrêté la chimio, ils lui remettent de temps en temps du sang. Mais les globules et les plaquettes restent très bas. Il ne peut pas recevoir de greffe. Est-ce qu’il peut prendre l’arn ? Si oui ou est-ce que l’on peut ce le procurer ? Merci d’avance.
Pour une leucémie, nous conseillons de prendre chaque jour du Pao V FM (4 matin et soir) + 5 Ginkgo V à midi et deux fois/semaine un RealBuild pour stimuler ses défenses naturelles. Aucune toxicité. et bons résultats.
Une interaction est il possible entre ARN de REAL BUILD et ARN messager des vaccins?
Comment la prise de Real Build pourrait interagir avec les vaccins?
Merci d’avance pour votre réponse.
qu’arriverait-il si, dans notre corps, le vaccin issu des travaux de Katalin Kariko rencontrait l’enzyme découverte par Mirko Beljanski ?
Celle-ci inscrirait-elle dans notre ADN le virus du COVID-19 ? C’est exactement ce qu’elle fait déjà pour le virus du SIDA (ou pour le spumavirus par exemple), car justement, si un organisme n’arrive pas à se débarrasser de ce virus, c’est parce qu’il est accompagné de sa propre transcriptase inverse qui lui permet de s’insérer dans l’ADN de son hôte !
Source: https://www.laselectiondujour.com/lincroyable-histoire-des-vaccins-a-arn-et-leurs-zones-dombres-n1177/
Merci pour votre commentaire.
Non le RealBuild n’est pas un (plus). un ARN, mais un oligoribonucléotide, car il a été fractionné en petits éléments constitutifs d’un ARN. Il n’agit pas comme un ARN. Il apporte seulement un 3′-OH. à l’ADN de la moelle osseuse. pour CATALiTSER la réaction mais il ne pénètre pas dans la réaction elle- même, il est détruit dès que la catalyse est faite. Tout cela se trouve longuement expliquer dans le livre de Mirko (DNA réplication) et aussi dans diverses publications. Cordialement