Décidément, les médias n’arrêtent pas de parler de Mirko Beljanski !
Trois articles en moins d’un mois : plus de quinze ans après son décès, il s’agit là, finalement d’un hommage à l’importance incontournable de ses découvertes.
Tout d’abord il y eut le bon article sur l’histoire de mon père, écrit par Dominique Vialard pour Alternative Santé. L’article bien écrit et bien documenté raconte « l’affaire » de façon simple, mais bien complète.
Puis il y eut 5 lignes dans “Rose magazine” : 5 lignes, c’est assez pour que certains journalistes truffent leurs textes d’inexactitudes et de désinformations.
Rappelons à cette occasion que Mirko Beljanski n’a pas été condamné en 1994 pour exercice illégal de la médecine, il a au contraire été relaxé de ce chef d’inculpation ; il a été diagnostiqué d’un cancer alors que ses produits n’étaient plus disponibles en France, et n’a donc pas pu bénéficier de la fameuse synergie d’action avec la chimiothérapie. Finalement, écrire que les produits Beljanski® ne servent qu’ « à contrer les effets secondaires d’une chimiothérapie » relève de la pure désinformation.
Outre les 99 publications scientifiques laissées par Mirko Beljanski, toutes les récentes recherches poursuivies aux Etats Unis montrent que les produits mis au point par Mirko Beljanski sont multiples et offrent de nombreux intérêts :
- Les fragments d’ARN Beljanski sont en effet utiles pour maintenir le niveau de plaquettes sanguines, qui peut être réduit en cas de chimiothérapie. (lien)
- l’extrait de Pao pereira s’est révélé efficace contre les cellules cancéreuses de la prostate, des ovaires et du pancréas.
- De même, l’activité de l’extrait de Rauwolfia vomitoria a aussi été confirmée par les publications récentes.
- Enfin, même si les Etats Unis n’ont pas publié sur l’extrait de Ginkgo doré, son intérêt pour la protection contre les fibroses induites par la radiothérapie a fait l’objet d’une publication signée Mirko Beljanski.
Dommage qu’un magazine, aussi lu que Rose magazine, ne fasse pas l’effort de se documenter correctement, et d’écrire de façon objective !
Et au même moment où Rose Magazine se livrait à son exercice de désinformation, aux Etats-Unis sortait l’article de HSI consacré à la dernière publication relative à l’étude conduite par l’Université de Nanjing sur le bénéfice du Pao pereira, même sur le cancer avancé de la prostate ne répondant plus à l’hormonothérapie.
Il est bien connu en effet, que les cellules cancéreuses peuvent devenir résistantes au traitement anti-hormone, laissant les patients avec peu d’options thérapeutiques.