Journée de la Terre
La santé de la terre est indissociable de notre propre santé (on ne peut pas séparer les deux). Or, la terre est malade et donc elle nous rend malade.
La terre est polluée et est très appauvrie en minéraux. De plus, nous l’empoisonnons depuis des décennies avec des engrais et des pesticides, car nous privilégions des profits à court terme sans réaliser les coûts à long terme sur notre santé.
Des décennies de DTT, glyphosates, phtalates, nitrates, etc., ayant pour conséquences la pollution des nappes phréatiques et de l’herbe que broutent les animaux (y compris ceux qui sont élevés en liberté et/ou dans des élevages biologiques) induisent des épidémies de cancers et autres épidémies manufacturées dont le succès est inversement lié à la faiblesse de nos systèmes immunitaires tout aussi appauvris que la terre sur laquelle nous vivons.
Le désastre mondial de la politique de santé
Après une politique globale de l’agriculture, nous assistons maintenant à une politique globale de la santé qui est un vrai désastre pour l’écologie et l’environnement. Ainsi, le vaccin BioNTech/Pfizer (le plus répandu au monde) demande à être refroidi (congelé) par du gaz hydrofluorocarbures (HFC) avec des émissions allant jusqu’à 23 000 fois supérieures à celui du CO2, ayant un effet direct sur le réchauffement climatique.
Il est important de noter le coût environnemental du transport, du stockage, des flacons en plastique et des seringues (qui ne sont pas recyclés, mais pour la plupart du temps gaspillés et jetés), tout l’équipement du personnel de santé dont les masques chirurgicaux impactent notre environnement. Quels seront les effets long-termes de cette pollution additionnelle ?
Les choix politiques au niveau global n’ont manifestement rien d’écologique. Ils sont en fait le reflet des choix économiques des compagnies pharmaceutiques et biotechnologiques investissant massivement pour créer des “analogues”, ces molécules imitant presque, mais pas tout à fait celles de la nature et qu’elles peuvent facilement breveter, pour se constituer ainsi des monopoles lucratifs. La nature, non brevetable, est méprisée car non rentable.
Alors, que peut-on faire?
C’est donc dans une dynamique éco-responsable, naturelle et sans toxicité que Maison Beljanski s’engage, pratiquant du commerce équitable et soutenant fièrement ses partenaires locaux (depuis la création de l’entreprise). Nos produits sont fabriqués à partir de matières premières issues du commerce équitable, fournissant aux récoltants une source stable de revenus, et une valorisation de leur environnement. Le produit fini est encapsulé dans des capsules végétariennes, et emballé dans des bouteilles recyclables.
Quant au packaging de notre nouvelle ligne de produits Beljanskin® (produits de soin àbase de thé et de Ginkgo), c’est naturellement le choix de bouteilles en verre pouvant être recyclées indéfiniment qui s’est impose.
Il est urgent, plus que jamais de prendre notre santé en main et de s’éduquer sur une autre approche traditionnelle de l’agriculture et de la santé.