Un vaccin au Thimérosal, ça vous intéresse ?
Tout cela malgré les récentes révélations du CDC admettant avoir caché des données établissant un lien entre les vaccins et l’augmentation des risques d’autisme.2,3
La molécule responsable de ce fléau est le Thimérosal, un agent de conservation à base de mercure. Selon Wikipedia, le Thimérosal a été largement utilisé, depuis des décennies, par l’industrie pharmaceutique comme conservateur dans les vaccins, préparations d’immunoglobulines, test cutanés antigènes, sérums antivenimeux, produits ophtalmiques et nasaux, et encres pour tatouages.
Il ne serait pas nécessaire d’utiliser un conservateur dans des flacons de vaccins à dose unique. Mais la cupidité a poussé les entreprises à utiliser des flacons multi-doses afin de réduire les coûts sur les flacons. D’où la nécessité d’utiliser un agent de conservation pour protéger les doses de vaccin une fois le flacon ouvert. Le thimérosal a été utilisé dans les vaccins pendant des décennies aux États-Unis pour éviter leur contamination par des germes, bactéries et fongus.
Et le vaccin contre la grippe ne fait pas exception, malgré le fait que la FDA et le CDC étaient parfaitement informés depuis des années du danger d’injecter du mercure dans l’organisme – en particulier chez les enfants dont le système immunitaire n’est pas complètement développé, et chez les personnes âgées, populations les plus à risque de développer des maladies auto-immunes, y compris la sclérose en plaques et la maladie d’Alzheimer (deux maladies étonnamment répandues de nos jours).
Comme le vaccin saisonnier contre la grippe est produit en grandes quantités pour les campagnes annuelles de vaccination, une partie du vaccin est produit dans des flacons multi-doses, et contient du thimérosal pour éviter une éventuelle contamination.4
– Il est encore temps de vous faire vacciner, claironne la pharmacienne.
– Vacciner contre quoi ?
– La grippe bien sûr !
– J’ai pris froid, je ne pense pas que ce soit viral, répondis-je.
– Ça vous protègera tout l’hiver
– Mais si le mal n’est pas d’origine viral, quel est le mode d’action ?
La pharmacienne n’aime pas les questions scientifiques, ou plus exactement, elle n’aime pas que je refuse la pensée magique. Elle me tourne le dos en haussant les épaules. J’achète des kleenex.
Parlant de protection contre les virus, peu de gens savent que Mirko Beljanski avait longuement travaillé sur les virus et que, déjà à son époque, un essai clinique avait été conduit en France en milieu hospitalier, sur le Pao pereira, confirmant son efficacité et absence de toxicité. Monique Beljanski a rédigé récemment une page complète d’information sur le sujet, disponible sur le site de la Fondation Beljanski, sous la rubrique héritage de Mirko Beljanski. (http://beljanski.org/francais/virus/)
(1)http://www.tropicaltraditions.com/vaccine-epidemic.htm
(2)http://healthimpactnews.com/2014/cdc-responds-admits-omitting-vaccine-data-linking-vaccines-to-higher-rates-of-autism/
(3)http://healthimpactnews.com/2014/cdc-caught-hiding-data-showing-mercury-in-vaccines-linked-to-autism/
(4)http://www.cdc.gov/flu/protect/vaccine/thimerosal.htm