ADNO
La conférence de l’ADNO, le lundi 2 décembre à Paris, s’est très bien passée, mis à part quelques petits problèmes techniques qui ne m’ont nullement empêchée de montrer à une audience attentive de professionnels de la santé comment la synergie d’action décrite par Mirko Beljanski du temps de ses recherches à l’Institut Pasteur entre Lomustine et ses extraits, et qui a ensuite été observée par Columbia Université avec le Docetaxel, puis récemment, encore confirmée par le Kansas Universté Medical Center, avec Gemcitabine et Carboplatine.
Ce qui est remarquable, c’est que toutes ces chimiothérapies sont des molécules chimiques très différentes les unes des autres, parfois même antagonistes,. Pourtant l’association avec les extraits semble multiplier le potentiel de chacune à inhiber la duplication des cellules cancéreuses, et ce, qu’il s’agisse de cellules cancéreuses du lymphome, comme dans le cas des recherches conduites par Mirko Beljanski lui même, de cancer de la prostate à Columbia University, ou de cancer des ovaires ou du pancréas au Kansas
La similarité des réultats observés dans le cadre de cette “mini meta-analyse”, malgré la disparité des structures moléculaires de toutes ces chimiothérapies et de leurs modes d’action, s’explique du fait que toutes participent à une déstabilisation supplémentaire de l’ADN cancer, et que les extraits de Beljanski sont capables de reconnaître sélectivement les cellules dont l’ADN est déstabilisé et d’en bloquer la duplication.
Le principe même de la déstabilisation progressive et cumulative de l’ADN par des agents exogènes est maintenant au coeur de l’explication scientifique justifiant le développement de la médecine environnementale
Ce week-end, Mirko Beljanski a finalement été reconnu en France par ses pairs et salué comme un précurseur trop en avance sur son temps pour pouvoir être compris par ses contemporains.
Je tiens ici à remercier le Dr Dominique Rueff, et l’ADNO, pour avoir permis cet événement.