Sylvie Beljanski

Je me traînais depuis plusieurs mois avec un sentiment de fatigue générale, des douleurs chroniques, des étourdissements et des maux de tête, lorsque je fus enfin correctement diagnostiquée pour un empoisonnement à l’arsenic. Le diagnostic fut à la fois un soulagement (enfin un diagnostic et un traitement !) et un choc.
Arsenic ? Comme dans un film noir des années 50 ?

Les métaux comme le mercure, le plomb, l’arsenic, le cadmium et l’aluminium sont dangereux, même en très petites quantités. Et le danger est aggravé quand ils s’accumulent dans votre corps. Comme le confirme l’Occupational Safety & Health Administration (OSHA) « ces métaux peuvent s’infiltrer dans les organes au point de représenter un danger significatif pour la santé ». En effet, ils deviennent toxiques quand ils ne sont pas métabolisés par l’organisme et s’accumulent dans les tissus mous. Nous les absorbons par la nourriture, l’eau, l’air, ou la peau. Les sources de pollution sont agricoles, industrielles, pharmaceutiques ou résidentielles.

Les métaux lourds peuvent se trouver où on ne les attendait pas : Des chercheurs de l’Université de Berkeley ont testé différents rouges à lèvres – provenant à la fois de marques trouvées en pharmacies et en grands magasins. Ils ont mesuré les taux de plomb et de huit autres métaux contenus dans 32 échantillons de produits pour les lèvres et ont évalué les risques potentiels pour la santé. La plupart des produits testés contenaient des concentrations élevées de titane et d’aluminium. Il a été également décelé du manganèse, et dans 24 produits (75%) du plomb. Lorsque les rouges à lèvres sont utilisés quotidiennement, les taux pour les dérivés de l’aluminium, du cadmium, du chrome et du manganèse sont 20% supérieurs à la dose journalière admissible (DJA). Environ Health Perspect 121:705-710 (2013).

Les agents chélateurs ont été introduits en médecine en raison de l’utilisation, durant la Première Guerre Mondiale d’un gaz toxique appelé la Lewisite, contenant du poison à base d’arsenic. Le premier chélateur largement utilisé comme un antidote à ce gaz fut le BAL (British Anti-Lewisite) qui avait des effets secondaires importants. Après la Seconde Guerre Mondiale, de nombreuses personnes dans la Marine employées à repeindre la coque des navires ont souffert d’un empoisonnement au plomb. C’est ainsi que l’acide éthylène diamine tétraacétique (EDTA) fut utilisé à des fins médicales comme agent chélateur du plomb. Contrairement au BAL, l’EDTA est un acide aminé synthétique qui ne contient pas de mercaptan, et ses effets secondaires sont considérés moins sévères. Dans les années 1960, le BAL a été modifié pour devenir le DMSA, un dérivé du dithiol avec beaucoup moins d’effets secondaires.
Une fois administré par voie intraveineuse, ces agents chélateurs synthétiques attirent les minéraux et les métaux afin de les éliminer par les voies naturelles de détoxification. Malheureusement, non seulement ils éliminent les métaux lourds, mais également les métaux essentiels.

La chélation est un traitement au long cours qui nécessite généralement 20 à 50 injections distinctes, en fonction de l’état de chaque patient. Certains patients peuvent ressentir une sensation de brûlure et de contusion à l’endroit où l’aiguille pénètre dans la veine.
J’ai dû subir 17 sessions, assise dans une salle de traitement avec des personnes recevant une chimiothérapie. Mes bras étaient couverts d’ecchymoses, et je les cachais sous des manches longues, comme si j’étais une toxicomane.

Une alternative serait la chélation orale, m’a-t-on dit. Mais l’EDTA par voie orale est très mal absorbé, seulement 5%. Les 95% d’EDTA non-absorbé restent à l’intérieur du tube digestif où il se mélange à la nourriture non digérée. Sur le long terme, cela peut empêcher l’absorption normale du zinc, manganèse, chrome, vanadium, cuivre, chrome, molybdène et bien d’autres nutriments essentiels, entraînant ainsi des déficiences nutritionnelles et créant ainsi de nouveaux problèmes. Quant au DMSA, il ne franchit pas la barrière hémato-encéphalique chez l’homme, ce qui limite son utilisation à l’extraction des métaux lourds dans des parties du corps autres que le système nerveux central. Toxicologie 234 (3): 145-156. doi: 10.1016/j.tox.2007.02.016

J’étais définitivement loin d’être enthousiaste à l’idée de combattre l’empoisonnement chimique par l’ingestion d’autres produits chimiques. Et je savais que ma condition résultant, à l’origine, du fait que mon organisme n’arrivait pas bien à se débarrasser de ces toxines par le processus naturel de détoxification, l’arsenic recommencerait de nouveau à s’accumuler. J’avais le sentiment qu’il devait exister une méthode naturelle plus douce. Malheureusement, je ne trouvais rien sur le marché.

C’est pourquoi j’ai créé, « Signature Chelate par Sylvie Beljanski® », un mélange d’ingrédients naturels choisis pour agir en synergie afin de stimuler le foie (L-Gluthatione), attirer les métaux lourds (Shilajit), fixer ces derniers (Chlorella), pour enfin aider à les éliminer par les voies naturelles (Chitosan), et régénérer le corps en minéraux essentiels (Shilajit).
Une formule tout en un ! Parce que j’en avais besoin !

Petit Pao pereira – photo de Sylvie Beljanski

Après l’université du Kansas qui s’intéresse au Pao pereira (Geissospermum) pour l’inhibition des cellules cancéreuses du pancréas, c’est maintenant le tour de l’université de Guyane de s’intéresser à cette plante. En effet, un étudiant vient de publier sa thèse dont le sujet est l’inhibition de l’acier C38 en milieu acide HC1 1M par les extraits alcaloïdes issus de deux plantes : Aspidosperma album et Geissospermum laeve. D’après lui, biodégradables et respectueux de l’environnement, les alcaloïdes de ces deux plantes pourraient être utilisés temporairement pour prévenir la corrosion de l’acier avec des taux d’inhibition supérieurs à ceux décrits dans la littérature.

Toutefois, à première lecture, cette  étude diffère avec les travaux de recherche conduits par Natural Source International car l’inhibition de la corrosion de l’acier serait due à l’action de l’alcaloïde majeur du Geissospermum, alors que Beljanski – et par suite Natural Source – s’est intéressé à l’alcaloïde secondaire.  Cette distinction est importante et explique la très faible cytotoxicité, maintes fois observée, des extraits fabriqués selon la méthode de Mirko Beljanski.  Bien entendu, la cytotoxicité de l’extrait à peu d’importance quand il s’agit d’acier !
Il est cependant toujours intéressant de voir que la nature nous apporte, dans tous les domaines, un meilleur choix que les produits chimiques que l’homme s’acharne à produire en quantité… industrielle !

Le Pao pereira fut décrit d’abord  par le botaniste  John Miers, qui publia en 1878 un mémoire sur les Apocynacées, famille botanique à laquelle appartient le Pao pereira.
Dans son ouvrage «  A Manual of Botany – including the Structure, Classification, Properties, Uses, And Functions of Plants », Robert Bentley révèla que l’écorce de Pao était largement utilisée au Brésil comme fébrifuge et anti-périodique.

C’est à Mirko Beljanski que l’on doit d’avoir mis au point un extrait sélectif des alcaloïdes et d’avoir démontré l’activité spécifiquement anticancéreuse de certains, une activité encore récemment confirmée par l’Université du Kansas.

 J’ai remarqué que sur la page Internet de Wikiphyto consacrée au Pao pereira, il est écrit, à la première ligne de la rubrique Propriété de la plante : “Dans les produits Beljanski“.  

Ce qui m’a frappé, c’est que “Beljanski” est ici utilisé comme un nom commun, un qualificatif, alors même qu’il s’agit une marque déposée et protégée.

Ce phénomène de “vulgarisation” du nom Beljanski est sans doute un signe de sa popularité grandissante, liée à la reconnaissance scientifique, tardive mais solide, apportée à ses travaux à travers les nombreuses publications scientifiques américaines récentes.

Récemment, quelqu’un a attiré mon attention sur le fait que le magazine “Principe de Santé” recommandait de même les produits Beljanski®, et utilisait aussi le nom sans le faire suivre du petit « ® » qui indique qu’il s’agit d’une marque déposée.

Cette évolution sémantique s’accompagnant de nombreuses questions sur le Pao pereira, j’ai décidé de répondre ici à toutes et tous, en publiant quelques photos, plutôt que de rédiger multiples messages.

Pao Pereira – Botanic garden – Credit photo : Sylvie Beljanski	– Le Pao pereira est une espèce bien connue, bien identifiée et bien documentée, exposée dans les jardins botaniques.
	Fleur de Pao Pereira Fruit du Pao Pereira

– La récolte de l’écorce du Pao pereira peut se faire sans couper l’arbre, et l’écorce se régénère rapidement.

Recolte de l’ecorce de Pao Pereira ©The Beljanski Foundation, Inc.	De plus Natural Source International recommande à ses fournisseurs de replanter régulièrement des petits Pao pereira. Le Pao pereira fait partie du développement durable.
	Pépiniere de Pao Pereira ©The Beljanski Foundation, Inc.

-La récolte de l’écorce du Pao pereira, effectuée de façon ancestrale, constitue un revenu essentiel pour de nombreux paysans d’Amérique du Sud. Un long trajet qui commence parfois à dos d’âne, ou sur une barque, avant de devenir un produit en bouteille.

Le Pao pereira fait partie du commerce équitable.

Acheminement du Pao pereira – ©The Beljanski Foundation, Inc.

Acheminement du Pao Pereira par barque ©The Beljanski Foundation, Inc.

Produit à base de Pao Pereira produit exclusivement distribué par Natural Source International, Ltd.

Je suis allée en France pour célébrer le “pique-nique” annuel de l’association CIRIS. Depuis 22 ans, plusieurs centaines de personnes se rassemblent pour discuter de leur utilisation des produits Beljanski®.

En 2008, cet événement avait été couvert par le magazine américain Doctor’s Prescription to Healthy Living, et une photo de groupe des participants avait fait la couverture de ce numéro.

Pique nique du CIRIS 2013

Cinq ans et cinq pique-niques plus tard, l’événement a été reçu avec le même engouement par des centaines de personnes, désireuses d’en apprendre davantage sur l’Approche Santé Beljanski®, de rencontrer des médecins, de partager leur expérience et leur témoignage. Cet événement est un rassemblement phénoménal de solidarité, d’amitié, et de volonté de prendre en charge sa santé et son traitement.

C’était aussi pour moi l’occasion de présenter une conférence intitulée «Beljanski … 15 ans après», rendant hommage aux découvertes de Mirko Beljanski, quinze ans après son décès, et d’expliquer comment le programme de recherche soutenu par l’association CIRIS, la Fondation Beljanski, et Natural Source International, permet de poursuivre l’héritage légué par le Dr Beljanski.

Les dernières publications scientifiques du Kansas University Medical Center, montrant l’efficacité du Pao pereira et du Rauwolfia vomitoria (extraits fournis par Natural Source International – méfiez-vous des contrefaçons!) sur les cellules cancéreuses de l’ovaire et du pancréas, ont retenu l’attention de nombreuses personnes. La synergie d’action entre Pao pereira, Rauwolfia vomitoria, Gemcitabine et Carboplatine a également été observée. Cette synergie d’action entre ces extraits de plante et les chimiothérapies était déjà un thème cher à Mirko Beljanski.

Merci de cliquer sur l’image pour démarrer la vidéo, extraite du DVD Politiquement Incorrecte, mais Scientifiquement Exacte, l’Histoire Beljanski : Des Molécules et des Hommes^© 

Video de Mirko Beljanski

À peu près au même moment aux États-Unis, un article du Dr Michael Schachter a été publié dans le numéro été 2013 de la revue américaine Cancer Strategies Journal.

Dr Schachter fait un bilan critique des avancées alimentaires et de l’utilisation des suppléments nutritionnels pour les patients atteints de cancer. Il s’en tient aux faits, en s’appuyant sur ​​des études bien contrôlées qui incluent des analyses statistiques. Il souligne qu’en dépit des opinions contraires largement répandues, il est prouvé que l’amélioration de l’alimentation des patients atteints de cancer permet de prolonger leur vie et que l’utilisation de suppléments nutritionnels, en association avec des traitements traditionnels du cancer, peut améliorer les résultats des patients. Il continue avec un rapide récapitulatif de plusieurs traitements alternatifs anticancéreux impliquant des doses élevées de vitamine C, vitamine D3, vitamine A et d’iode.

Dr.schachter – www.mbschachter.com

Avant de conclure l’article par une discussion sur les Salvestrols (tel que le resvératrol), il fournit une description détaillée des recherches menées par M. Beljanski. Il expose les idées innovantes de Beljanski sur la cause du cancer mais également ses découvertes et le développement des deux extraits de plantes (Pao pereira et Rauwolfia vomitoria) à l’activité anti-cancer à large spectre. Schachter explique que ces extraits, disponibles sous les noms de Pao V et Rovol V, ont été plus récemment étudiés à Columbia University Medical Center et au Kansas University Medical Center. Il poursuit en expliquant que Beljanski a développé un troisième extrait de plante – processus d’extraction unique des feuilles dorées de l’arbre Ginkgo – utile pour les patients atteints de cancer, ainsi qu’un produit à base de petites chaînes de fragments d’ARN qui protègent le système immunitaire des patients subissant une chimiothérapie. Le Dr. Schachter fait remarquer qu’il utilise les quatre compléments alimentaires  Beljanski avec ses propres patients atteints de cancer depuis plusieurs années.

Obtenez une copie de l’article pour obtenir cette précieuse information. (site en anglais)

Saviez-vous que quelques changements alimentaires très simples peuvent stimuler votre libido et vous éviter l’utilisation de médicaments dangereux ?

Voici quelques conseils tirés en grande partie des recommandations du nutritionniste S.Wilkinson et autres de ses confrères :

La circulation sanguine

Lorsque les vaisseaux sanguins durcissent et se bouchent, ils perdent de leur élasticité, rendant plus difficile la capacité du cœur à conduire le sang dans les vaisseaux.

Une bonne circulation sanguine permet à votre sang de circuler efficacement dans tout l’organisme, en partant du cœur et des poumons. Plus la circulation sanguine au niveau des organes sexuels est fluide, plus intense est l’orgasme. Que ce soit le poivre de Cayenne, les oranges ou les racines de gingembre, tous contribuent à améliorer la circulation sanguine.

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