“Il faut qu’une découverte soit découverte” Maurice Stroun
Tout à fait par hasard, en “surfant” le cyberespace, je suis tombée sur un article de M. Jean Rousseaux, Professeur honoraire à l’Université Pierre et Marie Curie, intitulé: “Que faut-il penser en 2007 des conceptions de Beljanski sur le cancer ?”;
Cet article, qui date probablement de 2007, replace les découvertes de Mirko Beljanski dans leur contexte historique – celle des années 1970-1980 – et confirme que “rien […]ne rend obsolète sa conception sur L’ADN tumoral. Celui-ci est bien déstabilisé, bien que ce ne soit pas la cause première de la maladie, mais la résultante obligée de plusieurs effets inducteurs et promoteurs additifs, voire synergistes.”
Le Professeur Rousseau met l’emphase sur l’importance de cette découverte fondamentale en reconnaissant que la déstabilisation de l’ADN serait l’un des seuls caractères communs à tous les tissus tumoraux.
(Il est à noter que cette théorie, qui, à l’époque, valut à Mirko Beljanski les foudres de Jacques Monod et sa mise au banc de l’institut Pasteur, a depuis donné ses bases scientifiques à la médecine environnementale, et a été reprise aux Etats Unis par le Professeur Malins.)
Rousseau parle également des produits mis au point par Beljanski, efficaces et non toxiques : “Les produits étudiés par Beljanski sont des alcaloîdes extraits à partir de plantes connues pour leur richesse en molécules d’intérêt pharmacologique, en particulier anticancéreux… Ils sont généralement peu toxiques, leur seuil de toxicité étant loin de leur zone d’activité pharmacologique ou leur pénétration dans les cellules saines étant impossibles”.
Rousseau conclut: “ Il est alors scientifiquement détestable et humainement tout à fait incompréhensible que ces travaux aient pu faire l’objet d’un rejet quasi unanime par la communauté scientifique et médicale, au moins en France. Bien que des incompatibilités entre chercheurs, la défense d’une position hégémonique et sectaire parquelques cancéologues éminents, ou celle d’intérêts mercantiles, expliquent ce rejet, rien de tout cela ne peut justifier que des travaux scientifiques sérieux soient écartés, surtout lorsqu’ils portent sur une pathologie aussi grave et aussi répandue que le cancer. La conséquence la plus évidente de ces comportements néfastes a été l’impossibilité de tester correctement l’activité de ces alcaloïdes chez l’homme”.
Ce que Rousseau omet de dire, c’est que cette impossibilité n’était pas seulement la conséquence d’un ostracisme orchestré, mais l’objectif ouvertement poursuivi dans le cadre d’une campagne de dénigrement officiel, ou des journalistes sans la moindre connaissance scientifique mais à la solde d’un obscurantisme de bon ton, traitaient le chercheur de “charlatan” et ses produits de “poudre de perlinpinpin”.
“Ils m’ont bousillé” m’a dit mon père, toujours avare de ses mots – même dans les circonstances les plus dramatiques – quelque jours avant son décès, le 28 Octobre 1998. (Je recommande à tous de lire “Mirko Beljanski ou la Chronique d’une Fatwa Scientifique”, par Monique Beljanski. Disponible sur le site de la Fondation)
Ce que Rousseau ne pouvait pas prédire en 2007, c’est que Natural Source International, CIRIS et la Fondation Beljanski, allaient réunir leurs efforts pour que la recherche continue et que des publications viennent d’Amérique confirmer les découvertes de Beljanski.
A plusieurs reprises, l’activité anti-cancereuse ainsi que la non-toxicité des extraits de Pau Pereira et de Rauwolfia Vomitoria ont été confirmées lors études sur cellules cancéreuses de la prostate et plus récemment sur les cellules cancéreuses des ovaires et du pancréas (attention les extraits étudiés dans le cadre de ces publications sont ceux fournis par Natural Source International, Ltd. et ces résultats ne sont pas transposables à d’autres préparations – voir Hommage ou appât du gain?)
Plusieurs livres ont maintenant été publiés, en français et en anglais, un film documentaire est disponible en français, un autre, en anglais est en cours de réalisation; Monique Beljanski et moi même sommes très souvent invitées à participer à des colloques scientifiques.
L’étouffement des découvertes de Beljanski a clairement échoué!
Comme disait Professeur Maurice Stroun, (Université de Genève), parlant également de Mirko Beljanski: “Il faut qu’une découverte soit découverte” (voir DVD).
Merci beaucoup pour cette article enfin j’ai trouvé ce que je recherche sur l’activité anti-cancereuse