C’est la fête des mères aux Etats-Unis!
Le hasard du calendrier veut qu’il y ait quelques semaines de décalage entre la fête américaine et la fête française.
La fête des mères, c’est bien sûr pour moi l’occasion d’offrir le parfum “Fleur d’Amour” que j’ai créé en association avec un grand “nez” de la parfumerie à New York.
Je lui avais donné comme mission de créer un parfum “délicat, sensuel, et sans molécules toxiques”
Bien sûr, il avait commencé par me dire que c’était impossible, et puis quand j’ai refusé plusieurs premiers ”jus”, il m’a dit que j’étais impossible, et un beau jour, il m’a présenté ce qui est devenu “Fleur d’Amour”.
Je suis très fière de cette production.
La plupart des parfums dans le commerce contiennent beaucoup de molécules toxiques, qui, jour après jour, peuvent contribuer à une déstabilisation cumulative et progressive de l’ADN, et ainsi transformer la cellule saine en cellule cancéreuse (bien sûr mon père expliquait ce mécanisme bien mieux que je ne pourrai jamais le faire)
« Fleur d’Amour” ne contient pas que des molécules naturelles (sinon le parfum ne tiendrait pas) mais au moins il ne contient aucune molécule cancérogène.
Mais la vraie, vraie bonne nouvelle, qui vient de tomber à temps pour la fête des mères aux USA, et que je développerai plus en détails à l’occasion de la fête des mères françaises, c’est que d’après les dernières recherches l’extrait de Pao Pereira tel que proposé par Natural Source (extraction méthode Beljanski® – attention aux contrefaçons) inhiberait les cellules cancéreuses des ovaires!
Une bonne nouvelle pour toutes les femmes du monde car ce fleau touche de nombreuses femmes de part le monde (on compte 22.280 nouveaux cas par an rien qu’aux Etats Unis)
L’inhibition du cancer des ovaires par le Pao Pereira, sur la base des précédentes publications de Mirko Beljanski (et en particulier The anticancer Agent PB-100, Selectively Active on Malignant Cells, Inhibits Multiplication of Sixteen Malignant Cell Lines, even Multidrug Resistant – la publication qu’il m’ avait confiée et que j’ai finalement réussi à faire publier en 1999, après son décès), on s’en doutait bien sûr, mais néanmoins, les confirmations nouvelles me comblent de joie.
Sylvie Beljanski