Le manque d’éthique finit par coûter très cher !
Le scandale actuel de la viande de cheval vendue en lieu et nom de viande de bœuf, ou de porc, défraye toute la presse européenne. Pourtant, on pouvait s’y attendre : à force de vouloir baisser les prix et quand même faire son profit, il était plus qu’évident que des petits malins allaient sauter sur l’aubaine pour donner satisfaction sur le coût et quand même tirer leur profit.
C’est ce qu’on observe depuis plus de 40 ans avec l’affaire du sang contaminé : poursuivre sa distribution quand bien même on sait qu’il contient le VIH, avec celle de l’Hormone de croissance : aller rechercher des échantillons dans les hôpitaux psychiatriques ou les prisons… parce que cela coûtait moins cher, celle des prothèses mammaires défectueuses : coût de la matière première abaissée pour le fabricant, ou encore les lasagnes pas chères : viande à bas coût, déchets, tromperie…
Cette étude conforte encore, si besoin est, l’importance théorique et pratique des recherches de Mirko Beljanski, et le rôle essentiel des compléments alimentaires bien choisis. Le choix de ceux-ci à une importance, surtout dans un monde où le manque d’éthique et de rigueur règne en maître. Si on vous vend des extraits purifiés, contrôlés et dosés, le coût ne peut être le même, car il faudra payer la qualité de l’extrait de base, et de ceux qui font les extractions, la concentrations en principe actif… ceux-là aussi méritent d’être payés pour leurs contrôles, leur exigence de qualité. Et tout cela, à la fin, se retrouve dans le prix du produit fini. Cela s’appelle investir dans la qualité !
Je suis tout à fait d’accord avec vous, la qualité a un prix. On ne peut pas faire moins cher que moins cher et avoir un produit identique. Hélas, le bon sens n’a pas sa place aujourd’hui, nous en paierons le prix un jour !