Le manque d’éthique finit par coûter très cher !
Le scandale actuel de la viande de cheval vendue en lieu et nom de viande de bœuf, ou de porc, défraye toute la presse européenne. Pourtant, on pouvait s’y attendre : à force de vouloir baisser les prix et quand même faire son profit, il était plus qu’évident que des petits malins allaient sauter sur l’aubaine pour donner satisfaction sur le coût et quand même tirer leur profit.
C’est ce qu’on observe depuis plus de 40 ans avec l’affaire du sang contaminé : poursuivre sa distribution quand bien même on sait qu’il contient le VIH, avec celle de l’Hormone de croissance : aller rechercher des échantillons dans les hôpitaux psychiatriques ou les prisons… parce que cela coûtait moins cher, celle des prothèses mammaires défectueuses : coût de la matière première abaissée pour le fabricant, ou encore les lasagnes pas chères : viande à bas coût, déchets, tromperie…
Au niveau des médicaments, c’est aussi mensonges et corruption. Comme l’écrit Sylvie Simon sur le Figaro.fr : « Le laboratoire pharmaceutique suisse Novartis a d’abord été accusé d’avoir incité des pharmaciens à favoriser un de ses médicaments, le Myfortic®, en leur versant des ristournes illégales.» Ensuite: « le département américain de la Justice a déposé une deuxième plainte au civil contre Novartis Pharmaceuticals invoquant des pots-de-vin payés par la société à des prestataires de santé. Le gouvernement à l’intention d’obtenir des dommages et intérêts de la société pour avoir corrompu des médecins afin de les inciter à prescrire des produits de Novartis (…) Toutefois, ces scandales n’empêchent pas l’État américain, qui poursuit Novartis pour corruption, de commander des millions de doses de vaccins à la moindre occasion, comme le signale le site de Initiative Citoyenne», même pour couvrir des risques purement théoriques comme celui de la grippe aviaire.
Dans ce contexte général de manque d’éthique, où l’on ne sait plus à qui se vouer, il est particulièrement important de rappeler que c’est avec des produits fournis par Natural Source International, Ltd. qu’a pu être réalisée la toute nouvelle étude que viennent de publier des chercheurs du Kansas University Medical Center, intitulée « Inhibition of pancreatic cancer and potentiation of gemcitabine effets by the extract of Pao Pereira », ce que l’on peut traduire par “Inhibition du cancer du pancréas et synergie avec la gemcitabine par l’extrait de Pao Pereira”, publiée dans le journal scientifique « Oncology Reports » (vol.10 n°1, pp 149-156, 2013 – Doi: 10.3892/or.2013.2461).
Cette étude conforte encore, si besoin est, l’importance théorique et pratique des recherches de Mirko Beljanski, et le rôle essentiel des compléments alimentaires bien choisis. Le choix de ceux-ci à une importance, surtout dans un monde où le manque d’éthique et de rigueur règne en maître. Si on vous vend des extraits purifiés, contrôlés et dosés, le coût ne peut être le même, car il faudra payer la qualité de l’extrait de base, et de ceux qui font les extractions, la concentrations en principe actif… ceux-là aussi méritent d’être payés pour leurs contrôles, leur exigence de qualité. Et tout cela, à la fin, se retrouve dans le prix du produit fini. Cela s’appelle investir dans la qualité !
Je suis tout à fait d’accord avec vous, la qualité a un prix. On ne peut pas faire moins cher que moins cher et avoir un produit identique. Hélas, le bon sens n’a pas sa place aujourd’hui, nous en paierons le prix un jour !