Le monde est une poubelle, le foie est son filtre !
Une personne qui avait commandé Lovaliver pour son foie m’a contacté pour se plaindre de l’odeur. Elle pensait avoir reçu une bouteille défectueuse et voulait l’échanger.
Je lui ai expliqué que le produit doit son odeur puissante à l’acide aminé L-cystéine. Voici pourquoi : cet acide aminé contient du souffre. Cet ingrédient malodorant joue un rôle important dans la production du collagène, ce qui en fait un excellent produit pour soutenir le foie, surtout lorsqu’il est combiné avec l’acide alpha-lipoïque, la choline et la méthionine, un acide aminé essentiel pour nous aider à fabriquer des protéines. Je recommande également de prendre Lovaliver avec un grand verre d’eau après un repas complet pour éviter des brûlures d’estomac.
Et puis je suis rentrée chez moi, et j’ai regardé les nouvelles du soir. Une fois encore on y évoquait un drame pour l’environnement, des milliers de gens intoxiqués, une augmentation incontrôlée non seulement du nombre de cancers, mais aussi des cirrhoses, hépatites, problèmes d’infertilité, et maladie de parkinson. Hier, c’était au sujet de l’Afrique du Sud, aux prises avec un dilemme tragique : que faire d’un demi-million de tonnes de déchets toxiques ? Une entreprise de transport d’Etat est en attente de l’approbation du gouvernement pour se débarrasser de l’amiante dans la province Cap-du-Nord en Afrique du Sud.
Mais ce plan ne fait qu’engendrer colère et préoccupation pour la santé publique poussant les résidents à se révolter. (Malheureusement, ce ne sont pas les millions de tonnes de déchets toxiques qui font les nouvelles, mais la révolte de ceux qui en vivent les effets dans leur chair).
L’Afrique du Sud peut nous paraître loin, mais le mois dernier c’était la Tunisie, qui faisait la une des nouvelles à la rubrique environnement. Les manifestants ont scandé : “Al-sha’b yureed al-bi’a esselima” ou “On veut un environnement propre”, alors qu’ils marchaient autour de la ville de Gabès, une des plus polluées et cancéreuses de Tunisie, située à mi-chemin entre Tunis et la frontière libyenne.
Reprenant ce slogan du Printemps Arabe, inventé en Tunisie, pour l’adapter à la justice environnementale locale, ils ont crié: “At-tlawath, dégage” ou “pollution, dégage”. Leurs signes en arabe, en français et en anglais tournent autour de la catastrophe écologique à laquelle leur communauté a été confrontée au cours des 40 dernières années : l’infertilité croissante, les fausses-couches courantes, la destruction de l’habitat – et les décès. Au début des années 1970, le Tunisian Chemical Group a commencé la construction d’une usine de raffinage du phosphate au nord de Gabès pour fabriquer et exporter des engrais et des conservateurs. Les trains livraient le phosphate brut, extrait des mines situées dans des villes telles que Gafsa et Rhedheyef à l’intérieur de la Tunisie, afin d’être traité, puis était chargé sur des navires à destination des marchés mondiaux, principalement en Europe. Mais les déchets de phosphogypse sont radioactifs (contenant de l’uranium et du radium). Aujourd’hui, les habitants appellent la plage, nommée Chott al-Mout, “le rivage de la mort”.
La pollution est partout. Nul n’y échappe. Littéralement, nous naissons pollués. Une étude conduite il y a quelques années par l’Environmental Working Group avait montré que le cordon ombilical des bébés pouvait contenir près de 200 produits chimiques. Et Mirko Beljanski l’avait démontré : les toxines environnementales ont un effet CUMULATIF au niveau de notre ADN.
Alors même si le souffre ne sent pas bon, ça vaut le coup de prendre très sérieusement soin de son foie.
Attention toutefois, certaines personnes peuvent être très sensibles, et la détoxification peut parfois créer un choc vécu comme une intoxication. Dans ce cas là, il est préférable de prendre des produits plus doux, comme Colonet ou Signature Chelate.